A côté de « LA MEDECINE *» co-existent des médecines dites non conventionnelles (Commission Européenne) que nous appelleront « Pratiques médicales non conventionnelles » ... anciennement dites « médecines douces, naturelles, alternatives, parallèles, complémentaires, énergétiques, holistiques, etc ...
LA MEDECINE conventionnelle/classique/traditionnelle en France l'est également dans un grand nombre de pays ...
- elle concerne toute la prophylaxie et l'ensemble de la pathologie humaine,
- résulte souvent de travaux in vitro, corroborés par l'expérimentation animale puis humaine par des études randomisées « en aveugle »,
- repose sur des faîts prouvés sur un grand nombre de cas statistiquement représentatifs,
- son efficacité est admise, étudiée, validée par l'ensemble de la communauté scientifique et médicale,
Aucune des pratiques médicales non conventionnelles ne satisfait simultanément à ces critères ... Comme l'a souligné l'Académie Nationale de Médecine en 1987, l'intérêt de ces croyances ou survivances du passé ne peut se justifier « que dans les pathologies guérissant spontanément ».
Nonobstant, certaines d'entre-elles démontrent une certaine efficacité dans un domaine particulier et sont donc sur le point d'être partiellement ou totalement reconnue. Mais il en est une dont l'évolution actuelle implique quelques commentaires suscités par les questions de mon entourage ...Introduction
En "zone +" :
* dite souvent « allopathique » ou médecine des «contraires» lorsque l'on désire l'opposer à l'homéopathie que l'on qualifie alors de « médecine des semblables ». En fait, notre médecine conventionnelle est parfois celle des « contraires » quand elle soigne toutes les maladies transmissibles par exemple (avec des antibiotiques, antimycosiques, antiprotozoaires, anthelminthiques), mais elle est aussi une médecine des semblables, une médecine « du terrain » particulièrement lorsqu'elle utilise les vaccins préventifs ou régule/pallie à la production/carences de nos organes et glandes, etc ....